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Treks et Randonnées du Monde

Tour du Toubkal - Haut Atlas - Maroc

Tour et Sommet du Toubkal - 4208 m


 

Retour à Marrakech en Mai 2010, pour cette fois franchir la barre des 4000 mètres avec l’ascension du Djebel Toubkal qui culmine à 4167 mètres d’altitude dans le Haut Atlas marocain, et qui en fait le plus haut sommet de l’Afrique du Nord, et tout cela également en passant quelques cols de bonne altitude.

 

J 1 : Vol Paris – Marrakech 

Atterrissage donc en fin d’après-midi sur le tarmac de l’aéroport de Marrakech sur lequel nous pouvons déjà respirer les parfums méridionaux, et sentir la chaleur du soleil en cette fin de journée.

Aéroport Marrrakech - Ménara

 

Les Marrachis vont à leurs occupations, et flânent en goûtant à cette douceur de fin de journée tout en rentrant chez eux.

Nous prenons donc la direction de notre hôtel Le Mogador juste à côté de la gare routière en face d’une porte d’accès à la Médina de Marrakech, et nous prenons possession de nos chambres et de nos lits pour une nuit, avant d’en oublier pour une semaine le moelleux dans des sacs de couchage posé sur des tapis mousse.

Nous passerons la soirée sur la place Djama El –Fna, comme il est de bon ton pour tout touriste à Marrakech de s’imprégner de l’ambiance de ces dizaines voire centaines de petites échoppes montées chaque soir, et qui proposent des grillades ou des Tajines assorties de légumes épicés par une multitude de condiments exotiques et tout cela arrosé d’une boisson très connue gazeuse et noire (pays musulman oblige).

 

Place Djema El Fnaa le soirRepas pris sur la place dans les petites échoppes

 

 

Pour cette fois, le retour à l’hôtel se fera sans se perdre dans les méandres des petites ruelles.

 

 

 

J 2 : Transfert à Imegdal par la route du Tizi N’Test

6 h de marche

Debout à l’heure marocaine, c'est-à-dire tôt vers 6 heure, bien qu’eux-mêmes sont déjà debout.

Nous prendrons un petit déjeuner à l’occidentale avec quand même quelques crêpes bien épaisses qu’ils font frire dans de l’huile avec application d’un peu de miel en plus, quelques œufs, et tartines, du  café et du lait, ainsi que croissant et pain et chocolat. Nous devrions tenir le coup jusqu’à Midi.

Les sacs sont ensuite amenés pour être charger sur les galeries des 4*4 stationnés devant l’hôtel.

Je revois à cette occasion le cuistot (Mohamed) du trek de 2006 de l’Atlas à l’Atlantique, qui lui revient d’un autre trek avec qui, j’ai le temps de discuter un moment, et qui se souvient parmi toutes ces randonnées de notre groupe, avec lequel, nous avions pu passé de bons moments de partage, d’amitié, de joie et de bonnes rigolades et de blagues qui l’ont marqué, et qui font qu’il s’en souvienne encore jusqu’à maintenant.

Nous prenons donc la route vers le Haut Atlas.

Nous ferons un arrêt dans un village, pour que l’équipe Marocaine d’accompagnateur se procurent quelques réserves de gaz pour nos futurs repas et pour la préparation du thé à la menthe (mais pas la viande des étals des boucheries locales)

Minaret dans un village vers le Haut Atlas

 

 

 

Nous reprenons la route pour encore environ 1 heure avant de rencontrer l’équipe des muletiers, qui se chargeront durant toute cette semaine de la logistique et du portage à l’aide de leurs mules, des bagages, des tentes, de la préparation des repas et du ravitaillement, etc.….

A ma grande surprise, parmi les muletiers, je reconnais la moitié de l’équipe de la randonnée de 2006 qui sont là, dont Omar, Hussein, et Brahim.

Nous aidons à décharger les 4*4 à 4 roues, et à charger tous nos bagages sur nos nouveaux 4 *4 à 4 pattes, et nous partons cette fois pour de bon sur notre randonnée pour une journée de 6 heures de marche.

Cette première journée sera sans véritable déclivité puisque nous emprunterons essentiellement une piste en terre et pour finir un petit sentier pour rejoindre notre lieu de campement.

Au cours de la matinée, nous aurons la chance de croiser un caméléon grâce à l’œil aiguisé de notre guide Momo tout en contemplant de superbes figuiers de barbarie en floraison.

 

CaméléonFiguier de Barbarie

 

Nous continuons de nous enfoncer dans cette étroite vallée du Jbel  Tafengha dans laquelle sont accrochés à flanc de montagne des villages de maison faite de terre rouge, et qui se dissimulent en mimétisme avec la couleur des lieux, c’est impression sera présente tout au long de ce voyage en pays Berbère.

 

Village berbères dans la montagne

 

Au fond de cette vallée verdoyante et qui contraste avec l’aridité de ses pentes, coule la rivière Imegdal qui donne son nom à un village qui se trouve en son entrée.

Nous ferons une pause à côté d’une chute d’eau près du village de Tawit sur le coup de midi pour nous restaurer, après avoir croiser durant la matinée le village d’Azemmour. 

Quelques femmes berbères coupent de l’herbe à côté de la rivière en compagnie de leur mule.

 

Au bord de la rièvière où des femmes coupent de l'herbe pour les bêtesBétail

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Durant l’après-midi, nous traverserons d’autres villages berbères Targa, Igherm et Tisgui, dans lesquels nous n’apercevrons pas beaucoup de monde pendant les heures chaudes de la journée, hormis quelques moutons, vaches, et mules.

 

 Vallée au milieu de 2 villages de montagneMaison typique de terre rouge

 Traversée du village de TisguiArchitecture des maisons du village

 

Nous monterons notre campement un peu à l’écart du village de Tisgui soit 1 grande tente pour le repas en commun, 1 moyenne tente pour la préparation du repas et le dortoir des muletiers, et 6 à 7 tentes de 2 personnes ce qui représentera notre camp type chaque soir.

Proche de notre campementCroisement sur un chemin

 

Campement

 

Nous sommes au pays du thé à la menthe, c’est pourquoi, chaque jour avant le repas en début de soirée, nous aurons le privilège du cérémonial du service du thé à la Marocaine.

Pour cette première soirée avec toute l’équipe, Momo se chargera de la présentation de l’équipe des muletiers et du cuistot sous la grande tente, après avoir dégusté notre première Tajine.

 

L'équipe Berbère

 

La préparation des repas et leur présentation dans de grands plats seront toujours tous les midis et tous les soirs très bien soignés.

 

J 3 : Ascension du Col du Tizi-N-Tagdalte,   Altitude : 2672 m

6 h de marche

Lors de cette journée, où nous franchirons le Col du Tizi-N-Tagdalte, nous changerons donc de vallée pour passer du Jbel Tafengha au Jbel Tashghimout.

Nous démarrerons notre journée assez tôt pour l’ascension du Col à 2672 m, afin de faire la descente dans la matinée jusqu’au village Tizi Oussem où nous déjeunerons.

L’ascension se faisant au milieu des cultures en terrasse, sur lesquels sont cultivés, de la pomme de terre, de l’orge, des Iris qui servent à l’exportation pour des  créations de parfum ou pour des préparations pharmaceutiques marocaines.

 

 

Culture en terrasseSous le levé du soleil

 

Nous cheminerons donc au milieu de cultures vertes en ce mois de Mai qui me semble être l’un des plus beaux mois de l’année pour randonner en pays Berbère, sous un soleil réchauffant et non écrasant, et qui permet de profiter au mieux des paysages sans être fatigué par une chaleur étouffante.

Quelques maisons sont dissimulées par-ci par-là  dans la rocailles de ces montagnes.

Maisons se fondant dans le payasage

 

Nous ne peinons pas à nous élever pour atteindre le col, puisque nos charges de sac sont à dos de mules guidées par nos muletiers marocains.

Nous profitons du spectacle et du panorama avant de basculer dans le Jbel Tasghimout.

 

Portage par les mulesRassemblement au Col

Chèvres, chevreaux et névés

Durant la descente, nous croisons un petit troupeau de chèvres qui paîssent les quelques plantes et buissons épineux ici et là. On aperçoit au loin quelques névés en altitude. La végétation qui nous entourent est composée de genévriers et de thuyas à l’état d’arbre qui peuvent atteindre pour certains plusieurs centaines d’année de tronc noueux.

Vallée des Thuyas centenaires

 

Au bas de notre descente, nous atteignions le village de Tizi Oussem à 1820 m, endroit où nous nous poserons pour déjeuner à l’ombre de noyers majestueux au bord de la rivière , d’où nous regarderons se passer la vie des villageois vaquant à leurs occupations journalières.

Arrivée au village de Tizi Oussem 1820mPause déjeûner au bord de la rivière

 

Préparation du repasAutour du repas

 

Villageoises ramenant du bois

Nous reprendrons notre marche dans l’après-midi en marchant le long des rigoles d’irrigation sous les châtaigniers et les noyers.

 

A l'ombre des noyers et la fraîcheur des canaux d'irrigations

 

Nous traverserons avant notre campement le village d’Azin Tamsoult, avant notre dernière grimpette vers notre campement au bord d’une rivière.

 

Traversée du village d'Azin Tamsoult

 Montée vers le campement

 

Cirque où nous passerons la nuitCampement au loin au bord de la rivière 

 

 

Toilette au bord de la rivière

 

Quand nous arrivons les 2 tentes principales ont déjà été mis en place par l’équipe de muletiers, il ne nous reste plus qu’à monter nos tentes biplaces sur un endroit le plus plat possible, en ayant au préalable dégager une surface sans pierre pour pouvoir dormir sans en avoir une dans le dos durant la nuit.

Comme chaque soir, nous nous régalerons des « plats préparés » (par notre cuisto), accompagnés pour ceux qui le souhaitent soit de la sauce douce ou piquante, ainsi que de la boisson du coin : le thé à la menthe, ou du café berbère ensuite

 

Tajine du soir

 

 

Préparation du Thé à la menthe :Cérémonie du service du thé à la marocaine

1 Faire bouillir l’eau

2 Mettre un peu de thé à infuser dans une petite quantité d’eau bouillie

3 Remettre le tout à bouillir

4 Ensuite mettre dans la théière

5 Ajouter au-dessus la menthe en quantité et le sucre à infuser

6 Verser 2 fois à la Marocaine dans 1 verre pour oxygéner le tout

 

Recette du Café Berbère :

Café – Lait – Gingembre – Cannelle – Poivre (pincée)

 

Et voilà pour cette journée !

 

J 4 : En route pour le Refuge Nelter 3106 m au pied du Toubkal 4167m

6 h de marche

Cette étape nous amène donc au pied du Toubkal après avoir franchi le Col d’Aguelzim 3547 m, encore une belle étape variée tant au niveau température, climat et paysages. 

Nous entamons donc cette étape par une longue montée vers le Col qui se fera en deux parties, la première avec le bruit d’un cours d’eau et une végétation verdoyante le longeant dans le cirque de Lepiney, et la seconde dans une ambiance plus minérale qui atteindra son apogée au Col avec de la neige et des névés de bonne importance encore.

 

Montée entre touffes d'herbes et ruisseaux

 

 

Nous atteindrons le sommet de ce col au bout de 4 heures de montée, le final se faisant dans un couloir abrupt composé de 79 lacets, mais quel spectacle de là-haut. Nous apercevons autour de nous plusieurs massifs composés de sommets qui culminent semble-t-il à plus de 4000 mètres , et qui à cette époque de l’année sont encore couvert de neige, ce qui ne sera plus le cas en Juillet.

Partie Pierreuse en vuePassage du Col d'Aguelzim 3547 m

 

La descente vers notre lieu de campement se fera dans le froid de la neige qui nous entoure, et le vent qui souffle par bourrasque. Le repas sera pris de ce fait dans ces conditions hivernales en essayant de s’abriter dans les anfractuosités du relief pour éviter le vent glacial.

 

Vue sur le Djebel Toubkal

 

 

Conditions hivernales en Mai au Maroc

Nous atteignions le Refuge Neltner 3207 m en milieu d’après-midi, le froid sur la descente ne nous motivant pas à flâner sur celle-ci 

Deux Refuges sont situés au pied de la montée vers le Djebel Toubkal, il s’agit du Refuge Neltner ou du Mouflon et le Refuge du Toubkal (club alpin français de Casablanca), à côté desquels nous monterons notre camp de toile, en arrimant le plus possible les tentes entre elles et en les lestant d’énormes pierres selon les conseils de Momo (notre guide).

 

Refuge Neltner  au pied du Toubkal à 3207 m et notre campement

 

Ce qui se révélera de très bon conseil durant la nuit venteuse et grêleuse. Les rafales de vent dont la vitesse semble assez élevée se succédant toutes les 5 minutes, et faisant pliées les tentes malgré les arrimages. Certains de nous devant trouver refuge vers 1 heure du matin dans le refuge voisin, étant donné, l’état de leur tente déchirée. Les tentes des muletiers s’étant quant à elles écroulées sous les rafales.

 

Nuit venteuse Vent sur les tentes

 

Bonne nuit pour ceux qui ont pu dormir, nous sommes tous fatigués après cette nuit infernale, au cours de laquelle, nous avons passé notre temps à écouter les vagues de rafales descendre sur la pente où nous étions dans l’après-midi, et qui cinglaient nos tentes de grêles selon leurs envies.

 

J 5 : Ascension de mon 1er 4000m : Le Djebel Toukal  4167 mètres d’altitude

8 h de marche

Sommet le Plus Haut d’Afrique du Nord

Petit-déjeuner, chacun se demande si l’ascension sera possible étant donné les conditions météo de ce matin toujours très venteuse en rafale.

La décision après réflexion du groupe sera d’essayer, puisque d’autres groupes étant déjà partis très tôt et n’étant pas revenus. Cette décision s’avérant payante puisque les conditions météo s’arrangeant avec un départ à 10 h. Le retard du départ sera vite compensé par une moindre fatigue sur le bas de la montée qui nous aura servi dans la partie finale au cours de laquelle nous rejoignons les groupes parties bien plus tôt et qui ont dû lutter contre des rafales successives.

 

Montée entre pierriers et névés dans un couloir où souffle les bourrasquesEn Montant vers le Toubkal

 

La montée se déroule entre plaques de neige et gros passages pierreux d’éboulis. L’altitude commence à se faire ressentir sur les organismes par le manque d’oxygène qui abaisse sensiblement les performances et capacité de chacun.

Plus nous montons et plus le paysage s’ouvre autour de nous jusqu’à être panoramique en atteignant le sommet sur lequel, plus aucune gêne supérieure à nous dans notre vision.

Nous profitons de notre 1er 4000 m …. 

 

Sommet du Djebel Toubkal 4167 m

 

360 °

 

La descente s’effectuera par les névés impraticables à la montée en raison de leur état verglacé qui s’est modifié par le réchauffement ambiant du soleil, dont nous profitons par chance, puisque étant montés un peu plus tard dans la matinée. La descente n’en sera qu’une formalité en à peine 2 h pour rejoindre le refuge, et peut-être dû aussi à la réussite, ce qui n’était pas évident à 8 h ce matin-là.

 

Descente rapide par les névésFin de la descente de la journée jusqu'à Imi-n-Tamlilte

 

 L’après-midi ne sera qu’une simple descente du refuge jusqu’à Imi-n-Tamlilte pour notre prochain bivouac

 

J 6 : Lieu Saint de Sidi Chamarouche – Village d’Aremd – Col Tizi Tamatert – Village d’Ikiss

6 h de marche

Journée essentiellement  composée de descente au cours de laquelle, nous nous arrêtons au Lieu Saint musulman de Sidi Chamharouch 2310 m, dont l’accès est intedit à toutes personnes non musulmanes.

 

Lieu Saint de Culte de Sidi Chamarouche

Les vendeurs ne sont jamais loin

 

Certains y font une retraite spirituelle d’une à plusieurs semaines ; nous rencontrons sur le chemin y menant de la vallée, des familles endimanchées qui s’y rendent.

Arrivée dans la vallée au village d’Aroumd 1903 m, où nous retrouvons de la verdure au bord  du cours d’eau sui nous conduit au village suivant d’Imlil où nous prendrons la direction du col de Tizi Tamatert 2279m, duquel nous apercevons la vallée verdoyante de Tacheddirt.

 

Village et vallée d'AroumdCol de Tizi Tamatert 2279m

 

Nous prenons la direction du village de Tinghourine, dont nous utilisons les chemins et les ponts pour franchir les cours d’eau et les systèmes de canaux d’irrigation qui cheminent sous des voûtes arboricoles. Les villages se succèdent où la fée électrique est arrivée, avant de planter nos tentes proche du village d’Arg.

 

Descente vers le village de TinghourinePetits canaux d'irrigation des cultures en terrasse sous les noyers

 

Passage d'un pont villageoisLe village et ces cultures en terrasse

 

J 7 : Direction Imi Oughlad porte de sortie du Trek – et enfin Marrakech

4 h de marche et 1 h 30 de route

 

Lever de lumière dans la vallée d’Arg, que nous emprunterons durant la presque totalité de la matinée, hormis un passage d’un petit col pour finir à Imi Oughlad, où nous quitterons l’équipe de muletiers et le cuistot.

Lever de soleil

 

Cette matinée se fera à altitude quasi constante en traversant les uns après les autres les villages rencontrés d’Amsekrou et Imsker durant notre descente dans des paysages de terre rouge avec la vue sur le Massif du Djebel Toubkal qui s’éloigne.

 

Vue sur la valléeVue sur le Haut Atlas

 

Rencontre avec des femmes berbères portant du fourrage pour leurs vaches et moutons tout en traversant la rivière.

 

Femmes berbères portant du fourrage

 

Dernier repas pris en commun avec l’ensemble de l’équipe et les mules, avec pour certains le début des palabres pour négocier l’achat de souvenirs bijoux, shechs, et tous autres articles artisanaux qui nous sont proposés avant ceux du souhk de Marrakech, où les tractations seront des plus extraordinaires autour d’un verre de thé parfois.

 

Plats du cuistoL'équipe Marocaine

 

Retour en 4*4 à Marrakech  en début d’après-midi avec des souvenirs et beaucoup de photos de ces quelques jours. 

 

Retour vers Marrakech et le Haut Atlas derrière nous

L’après-midi sera consacrée à visiter le Jardin Majorelle et pour certains à s’initier aux Hammams .

 

Jardin de Majorelle à MarrakechJardin de Majorelle

 

Jardin MajorelleJardin Majorelle

 

La soirée étant prévue sur les conseils de Momo dans un restaurant avec une ambiance tamisée au murmure de la fontaine

 

J 8 : Journée Souhk de Marrakech – Place Djama El Fnaa – Achats de Souvenirs

Comme pour beaucoup de touristes , Marrakech ne serait pas Marrakech sans les soukhs de la médina, et la place Djama El Fnaa dans lesquels nous déambulons au milieu des différentes boutiques de babouches, de sacs, de boutiques d’épices, de ces boucheries à même la rue sans frigo, ses artisans du cuir, de ferronnerie, de poterie, de lampes berbères, et j’en passe tant il y en a ; et dans lesquelles ,la règle d’or est le marchandage en Dirrham pour chaque achat pendant des minutes voir des dizaines de minutes.

 

Soukhs de Marrakech - EpicesSoukhs de Marrakech - Boucherie artisanale

 

En soirée, nous rejoindrons notre hôtel prendre nos sacs pour aller à l’aéroport Marrakech Menara où nous attends notre vol retour pour Paris.

 

De retour

Vidéo sur le Djebel Toubkal :

 

 Carte de notre tour dans le Haut Atlas et l'ascension du Djebel Toubkal  4208 m

Plan de notre randonnée dans le Massif du Djebel Toubkal

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Date de dernière mise à jour : 17/01/2021

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